Mises à jour

Office fédéral de topographie swisstopo

Carte de l'état de la végétation basée sur l'VHI (Vegetation Health Index) dérivée des données satellitaires (AVHRR, VIIRS, Landsat 4,5,7-9 et Sentinel-2) à différentes résolutions spatiales résumées à une résolution agrégée de dix mètres. Le VHI se compose de deux composantes : une partie (VCI - Vegetation Condition Index) reflète les caractéristiques biophysiques locales de la végétation, et l'autre partie (TCI - Thermal Condition Index) caractérise les conditions climatiques (température). Les deux parties représentent la situation actuelle par rapport à une période de référence. Le VHI est combiné pour évaluer la sécheresse - plus la valeur est basse, plus la sécheresse est forte et son impact sur la végétation. L'ensemble de données a été développé en collaboration avec MétéoSuisse pour le Portail Fédéral de la Sécheresse.Contient des données modifiées Copernicus Sentinel.

Office fédéral de topographie swisstopo

swissEO S2-SR: Données satellitaires optiques (Sentinel-2)

Les données satellitaires optiques (Sentinel-2) représentent les réflectances de la surface terrestre pour les quatre canaux Rouge, Vert, Bleu et Infrarouge proche avec une résolution spatiale de dix mètres. La Suisse est entièrement capturée environ tous les trois jours, cependant, l'utilisabilité des données dépend fortement des conditions météorologiques car le capteur d'imagerie ne peut pas voir à travers les nuages. En plus de la géolocalisation déjà appliquée aux données, une coenregistrement optimisée pour la Suisse est utilisée pour une précision de localisation sub-pixel ainsi qu'une rectification orthographique améliorée, et les données sont fournies dans une projection uniforme. Des couches de qualité optimisées avec des masques pour les nuages ( et leures ombres) et les ombres topographiques sont également fournies.Contient des données Copernicus Sentinel modifiées

Office fédéral de l'énergie OFEN

Potentiel d'exploitation de la chaleur des eaux souterraines

L'énergie thermique stockée dans les eaux souterraines peut être utilisée à des fins de chauffage. Les installations de pompes à chaleur sur eau de nappe permettent d'extraire la chaleur de l'eau de nappe et de la transmettre au système de chauffage. Le potentiel des eaux souterraines pour le chauffage est important et peut être évalué. Le potentiel d'utilisation de la chaleur des eaux souterraines dans les aquifères de roches meubles de Suisse a été évalué à l'aide d'une approche de bilan thermique. Cette approche consiste à déterminer la chaleur utilisable à partir d'un bilan thermique simplifié en tenant compte des changements à long terme. Les eaux souterraines sont considérées comme un système ouvert, c'est-à-dire qu'il y a un échange de chaleur avec l'atmosphère, l'hydrosphère et la géosphère. Le potentiel d'utilisation de la chaleur calculé est considéré comme une chaleur utilisable durablement à moyen terme. Il convient de noter que seul le potentiel de production de chaleur à partir des eaux souterraines a été pris en compte, les éventuelles utilisations à des fins de refroidissement ou de stockage saisonnier de la chaleur n'ont pas été considérées. Les installations d'exploitation existantes n'ont pas non plus été prises en compte. Les bases pour le calcul ont été fournies par les cantons et la Confédération. Le jeu de géodonnées "Potentiel d'utilisation de la chaleur des eaux souterraines dans les aquifères de roches meubles de Suisse" indique la chaleur maximale utilisable durablement à moyen terme que l'on peut prélever dans les eaux souterraines.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: thallium

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation de Publication: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope; Zürich, 2023.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: sulfure

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation de Publication: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope; Zürich, 2023.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: Mercure

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Zürich, 2023.

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Atlas géochimique des sols de la Suisse: Sodium

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Zürich, 2023.

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Atlas géochimique des sols de la Suisse: Molybdène

nterpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation de Publication: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope; Zürich, 2023.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: manganèse

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Zürich, 2023.

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Atlas géochimique des sols de la Suisse: Magnésium

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation de Publication: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope; Zürich, 2023.

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Atlas géochimique des sols de la Suisse: fer

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation de Publication: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope; Zürich, 2023.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: Cobalt

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Züri

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: Calcium

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Zürich, 2023.

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: Plomb

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Züri

Office fédéral de l'environnement OFEV

Atlas géochimique des sols de la Suisse: Antimoine

Interpolations de concentrations d'éléments (mg/kg de terre fine) dans les sols de surface (0-20 cm) de Suisse. Pour les interpolations en krigeage habituel (1 km x 1 km), les données prises en compte proviennent de 1201 sites du Monitoring de la biodiversité en Suisse (BDM), de l'Observatoire national des sols (NABO) et de l'Atlas géochimique européen des sols (GEMAS). Les concentrations en éléments ont été analysées dans des préparations à l'eau régale (HNO3:HCl:H2O) d'échantillons de sol séchés (40 °C), tamisés (< 2 mm),broyés puis analysés par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les sites dont les concentrations d'éléments sont connues pour être essentiellement anthropiques (sources ponctuelles) ont été préalablement exclus. Les résultats de l'Atlas géochimique des sols représentent un instantané des concentrations d'éléments dans les sols de surface de la Suisse (période d'échantillonnage de 2011 à 2015). Les cartes interpolées servent à améliorer la visualisation des régions présentant des concentrations d'éléments élevées ou basses. Ces données ne permettent cependant pas d'en déduire des informations précises à l'échelle des parcelles ou des conclusions définitives sur la géologie, la biodisponibilité, le pourcentage de répartition des sources géogènes et anthropogènes ainsi que la pollution du sol. Citation: J. E. Reusser, M. B. Siegenthaler, L. H. E. Winkel, D. Wächter, R. Kretzschmar, R. G. Meuli: Geochemischer Bodenatlas der Schweiz. Agroscope, Zürich, 2023.

Office fédéral de l'énergie OFEN

Rayonnement solaire sur une surface horizontale

Les cartes de rayonnement montrent le rayonnement solaire sur une surface orientée vers le sud pour quatre inclinaisons différentes : Horizontale, 30°, 75° et 90°. Les données sont basées sur une modélisation à l'échelle de la Suisse avec une grille horizontale de 50m. L'influence de l'horizon a été déduite d'un modèle d'altitude à 10 m de résolution de la Suisse et des pays limitrophes. Outre le rayonnement global, la production photovoltaïque attendue par kW de puissance installée est également représentée pour les différents niveaux de rayonnement. Ces données peuvent servir de première estimation de la production photovoltaïque possible. Selon les conditions locales et la conception de l'installation, la valeur peut toutefois être plus ou moins élevée. Par exemple, les éventuels rendements supplémentaires dus à l'utilisation de modules bifaciaux n'ont pas été pris en compte. Sous "Informations supplémentaires", il est possible de consulter, pour chaque point de grille, les valeurs mensuelles du rayonnement global (par m2) et de la production photovoltaïque attendue (par kW de puissance installée). De plus amples informations sur la modélisation peuvent être consultées dans le rapport sous le lien "Obtention de données".

Office fédéral de l'énergie OFEN

Rayonnement solaire sur une surface inclinée à 30° vers le sud

Les cartes de rayonnement montrent le rayonnement solaire sur une surface orientée vers le sud pour quatre inclinaisons différentes : Horizontale, 30°, 75° et 90°. Les données sont basées sur une modélisation à l'échelle de la Suisse avec une grille horizontale de 50m. L'influence de l'horizon a été déduite d'un modèle d'altitude à 10 m de résolution de la Suisse et des pays limitrophes. Outre le rayonnement global, la production photovoltaïque attendue par kW de puissance installée est également représentée pour les différents niveaux de rayonnement. Ces données peuvent servir de première estimation de la production photovoltaïque possible. Selon les conditions locales et la conception de l'installation, la valeur peut toutefois être plus ou moins élevée. Par exemple, les éventuels rendements supplémentaires dus à l'utilisation de modules bifaciaux n'ont pas été pris en compte. Sous "Informations supplémentaires", il est possible de consulter, pour chaque point de grille, les valeurs mensuelles du rayonnement global (par m2) et de la production photovoltaïque attendue (par kW de puissance installée). De plus amples informations sur la modélisation peuvent être consultées dans le rapport sous le lien "Obtention de données".

Office fédéral de l'énergie OFEN

Rayonnement solaire sur une surface inclinée à 75° vers le sud

Les cartes de rayonnement montrent le rayonnement solaire sur une surface orientée vers le sud pour quatre inclinaisons différentes : Horizontale, 30°, 75° et 90°. Les données sont basées sur une modélisation à l'échelle de la Suisse avec une grille horizontale de 50m. L'influence de l'horizon a été déduite d'un modèle d'altitude à 10 m de résolution de la Suisse et des pays limitrophes. Outre le rayonnement global, la production photovoltaïque attendue par kW de puissance installée est également représentée pour les différents niveaux de rayonnement. Ces données peuvent servir de première estimation de la production photovoltaïque possible. Selon les conditions locales et la conception de l'installation, la valeur peut toutefois être plus ou moins élevée. Par exemple, les éventuels rendements supplémentaires dus à l'utilisation de modules bifaciaux n'ont pas été pris en compte. Sous "Informations supplémentaires", il est possible de consulter, pour chaque point de grille, les valeurs mensuelles du rayonnement global (par m2) et de la production photovoltaïque attendue (par kW de puissance installée). De plus amples informations sur la modélisation peuvent être consultées dans le rapport sous le lien "Obtention de données".

Office fédéral de l'énergie OFEN

Rayonnement solaire sur une surface inclinée à 90° vers le sud

Les cartes de rayonnement montrent le rayonnement solaire sur une surface orientée vers le sud pour quatre inclinaisons différentes : Horizontale, 30°, 75° et 90°. Les données sont basées sur une modélisation à l'échelle de la Suisse avec une grille horizontale de 50m. L'influence de l'horizon a été déduite d'un modèle d'altitude à 10 m de résolution de la Suisse et des pays limitrophes. Outre le rayonnement global, la production photovoltaïque attendue par kW de puissance installée est également représentée pour les différents niveaux de rayonnement. Ces données peuvent servir de première estimation de la production photovoltaïque possible. Selon les conditions locales et la conception de l'installation, la valeur peut toutefois être plus ou moins élevée. Par exemple, les éventuels rendements supplémentaires dus à l'utilisation de modules bifaciaux n'ont pas été pris en compte. Sous "Informations supplémentaires", il est possible de consulter, pour chaque point de grille, les valeurs mensuelles du rayonnement global (par m2) et de la production photovoltaïque attendue (par kW de puissance installée). De plus amples informations sur la modélisation peuvent être consultées dans le rapport sous le lien "Obtention de données".

Office fédéral de l'énergie OFEN

Besoin de recharge : parc de véhicules branchés pour l'année 2035

Le terme "véhicule branché" désigne les véhicules électriques à batterie (BEV) et les véhicules hybrides rechargeables (PHEV). Si seuls les véhicules électriques à batterie sont concernés, ils sont explicitement mentionnés comme tels. Les véhicules à pile à combustible à hydrogène (FCEV) ne sont pas des véhicules branchés. L'ensemble de données contient des voitures de tourisme. Les véhicules sont agrégés par commune et par canton sur la base de l'adresse du détenteur. L'évolution des nouvelles immatriculations, du parc et de la consommation d'électricité des véhicules branchés en Suisse se base sur les hypothèses communes à la branche de l'étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050" ainsi que sur le scénario technologique de EBP Electric and Hydrogen Mobility Scenarios 2023 (scénario ZERO-E). Il s'agit d'un scénario de développement rapide des véhicules branchés pour les années 2023 à 2050. Les données sont basées sur les données historiques des véhicules (OFROU) en 2022. Remarque : les besoins en électricité des véhicules connectés immatriculés dans une zone (p. ex. commune ou canton) ne correspondent pas aux besoins de recharge dans cette zone, car, à l'exception de la recharge à domicile, les recharges ne se font pas exactement là où le véhicule est enregistré, mais ailleurs, p. ex. sur le lieu de travail, à destination, dans le quartier ou à des points de recharge rapide (> voir jeu de données "Besoin de recharge"). Le jeu de données contient l'évolution annuelle des véhicules branchés (voitures particulières) en Suisse de 2023 à 2050 dans le scénario ZERO-E (compréhension de l'infrastructure de recharge 2050), ventilée entre les véhicules électriques à batterie et les hybrides plug-in. Outre les nouvelles immatriculations et le parc automobile, le besoin en électricité des véhicules immatriculés est indiqué. Les données sont disponibles au niveau des communes et des cantons (nouvelles immatriculations annuelles uniquement au niveau des cantons).

Office fédéral de l'énergie OFEN

Disponibilité de la recharge à domicile dans le monde de la recharge « Confort » pour l'année 2035

Les voitures particulières électriques à batterie doivent, dans la mesure du possible, pouvoir se recharger à des stations de recharge privées situées sur des places de stationnement existantes à domicile. Actuellement, on ne sait pas quelle sera la disponibilité des points de recharge privés à domicile ni celle des offres de recharge sur le lieu de travail. Afin de montrer l'étendue des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu trois mondes de recharge : "Confortable", "Planifié" et "Flexible", afin de montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse. Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Penser en termes de différents mondes de la recharge est un instrument utile pour pouvoir faire des déclarations sur l'avenir malgré l'incertitude existante. Les différents mondes de recharge permettent d'analyser l'évolution dans différentes conditions, conditions politiques générales et influence variable des principaux moteurs. La recharge à domicile correspondra à l'avenir également au besoin des détenteurs de véhicules électriques à batterie. Pour ce faire, il faut si possible que toutes les places de stationnement privées dans les immeubles d'habitation soient équipées d'une infrastructure de recharge privée (étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). La proportion de véhicules électriques à batterie qui ne peuvent être rechargés ni à la maison ni au travail varie d'une région à l'autre. La raison principale en est la proportion de détenteurs de véhicules -détenteurs de véhicules sans places de stationnement privées, ainsi que la composition du parc immobilier et des rapports de propriété. Un mélange d'options de recharge satisfait le besoin de recharge - aujourd'hui et à l'avenir. Dans tous les univers de recharge, un réseau de recharge accessible à tous est nécessaire en Suisse. Les propriétaires de voitures de tourisme électriques à batterie qui se rechargent chez eux ou sur leur lieu de travail utilisent le réseau de recharge accessible à tous comme complément lors de longs voyages. Les voitures particulières électriques à batterie qui ne peuvent se recharger ni à domicile ni sur le lieu de travail sont tributaires de l'infrastructure de recharge accessible à tous. Dans chaque univers de recharge, il existe des détenteurs de véhicules branchés qui dépendent entièrement du réseau de recharge accessible à tous. La proportion diffère entre les univers de recharge en fonction de la disponibilité de l'infrastructure de recharge à domicile et sur le lieu de travail. Le fichier de données contient la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne disposeront pas à l'avenir d'une possibilité de recharge privée à domicile (Anteil_kein_Heim). En outre, les données indiquent la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne pourront à l'avenir se recharger ni à domicile ni au travail (part_ni_domicile_ni_travail). Les données sont disponibles sous forme régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton par tranches de 5 ans de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

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Disponibilité de la recharge à domicile dans le monde de la recharge « Flexible » pour l'année 2035

Les voitures particulières électriques à batterie doivent, dans la mesure du possible, pouvoir se recharger à des stations de recharge privées situées sur des places de stationnement existantes à domicile. Actuellement, on ne sait pas quelle sera la disponibilité des points de recharge privés à domicile ni celle des offres de recharge sur le lieu de travail. Afin de montrer l'étendue des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu trois mondes de recharge : "Confortable", "Planifié" et "Flexible", afin de montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse. Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Penser en termes de différents mondes de la recharge est un instrument utile pour pouvoir faire des déclarations sur l'avenir malgré l'incertitude existante. Les différents mondes de recharge permettent d'analyser l'évolution dans différentes conditions, conditions politiques générales et influence variable des principaux moteurs. La recharge à domicile correspondra à l'avenir également au besoin des détenteurs de véhicules électriques à batterie. Pour ce faire, il faut si possible que toutes les places de stationnement privées dans les immeubles d'habitation soient équipées d'une infrastructure de recharge privée (étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). La proportion de véhicules électriques à batterie qui ne peuvent être rechargés ni à la maison ni au travail varie d'une région à l'autre. La raison principale en est la proportion de détenteurs de véhicules -détenteurs de véhicules sans places de stationnement privées, ainsi que la composition du parc immobilier et des rapports de propriété. Un mélange d'options de recharge satisfait le besoin de recharge - aujourd'hui et à l'avenir. Dans tous les univers de recharge, un réseau de recharge accessible à tous est nécessaire en Suisse. Les propriétaires de voitures de tourisme électriques à batterie qui se rechargent chez eux ou sur leur lieu de travail utilisent le réseau de recharge accessible à tous comme complément lors de longs voyages. Les voitures particulières électriques à batterie qui ne peuvent se recharger ni à domicile ni sur le lieu de travail sont tributaires de l'infrastructure de recharge accessible à tous. Dans chaque univers de recharge, il existe des détenteurs de véhicules branchés qui dépendent entièrement du réseau de recharge accessible à tous. La proportion diffère entre les univers de recharge en fonction de la disponibilité de l'infrastructure de recharge à domicile et sur le lieu de travail. Le fichier de données contient la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne disposeront pas à l'avenir d'une possibilité de recharge privée à domicile (Anteil_kein_Heim). En outre, les données indiquent la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne pourront à l'avenir se recharger ni à domicile ni au travail (part_ni_domicile_ni_travail). Les données sont disponibles sous forme régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton par tranches de 5 ans de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

Office fédéral de l'énergie OFEN

Disponibilité de la recharge à domicile dans le monde de la recharge « Planifié » pour l'année 2035

Les voitures particulières électriques à batterie doivent, dans la mesure du possible, pouvoir se recharger à des stations de recharge privées situées sur des places de stationnement existantes à domicile. Actuellement, on ne sait pas quelle sera la disponibilité des points de recharge privés à domicile ni celle des offres de recharge sur le lieu de travail. Afin de montrer l'étendue des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu trois mondes de recharge : "Confortable", "Planifié" et "Flexible", afin de montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse. Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Penser en termes de différents mondes de la recharge est un instrument utile pour pouvoir faire des déclarations sur l'avenir malgré l'incertitude existante. Les différents mondes de recharge permettent d'analyser l'évolution dans différentes conditions, conditions politiques générales et influence variable des principaux moteurs. La recharge à domicile correspondra à l'avenir également au besoin des détenteurs de véhicules électriques à batterie. Pour ce faire, il faut si possible que toutes les places de stationnement privées dans les immeubles d'habitation soient équipées d'une infrastructure de recharge privée (étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). La proportion de véhicules électriques à batterie qui ne peuvent être rechargés ni à la maison ni au travail varie d'une région à l'autre. La raison principale en est la proportion de détenteurs de véhicules -détenteurs de véhicules sans places de stationnement privées, ainsi que la composition du parc immobilier et des rapports de propriété. Un mélange d'options de recharge satisfait le besoin de recharge - aujourd'hui et à l'avenir. Dans tous les univers de recharge, un réseau de recharge accessible à tous est nécessaire en Suisse. Les propriétaires de voitures de tourisme électriques à batterie qui se rechargent chez eux ou sur leur lieu de travail utilisent le réseau de recharge accessible à tous comme complément lors de longs voyages. Les voitures particulières électriques à batterie qui ne peuvent se recharger ni à domicile ni sur le lieu de travail sont tributaires de l'infrastructure de recharge accessible à tous. Dans chaque univers de recharge, il existe des détenteurs de véhicules branchés qui dépendent entièrement du réseau de recharge accessible à tous. La proportion diffère entre les univers de recharge en fonction de la disponibilité de l'infrastructure de recharge à domicile et sur le lieu de travail. Le fichier de données contient la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne disposeront pas à l'avenir d'une possibilité de recharge privée à domicile (Anteil_kein_Heim). En outre, les données indiquent la part des voitures particulières électriques à batterie qui ne pourront à l'avenir se recharger ni à domicile ni au travail (part_ni_domicile_ni_travail). Les données sont disponibles sous forme régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton par tranches de 5 ans de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

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Nombre de points de recharge accessibles à tous dans l'univers de recharge «confortable» pour l'année 2035

Un point de recharge est une installation de recharge de véhicules branchés (véhicules électriques à batterie et hybrides rechargeables) qui permet de recharger un seul véhicule à la fois. Un point de charge correspond donc à une prise qui alimente un parking avec une possibilité de charge. Toutes les données se rapportent à des points de charge [nombre de points de charge]. On distingue différentes options de recharge, qui se différencient en fonction des besoins de recharge (recharge à domicile, recharge au travail, recharge dans le quartier, recharge à destination, recharge rapide) ainsi que du type de recharge (courant alternatif AC, courant continu DC) et de la puissance de recharge (en kilowatts [kW]). Les points de recharge pour la recharge dans le quartier, la recharge à destination et la recharge rapide sont désignés globalement comme points de recharge accessibles à tous. Le besoin de recharge agrégé par besoin de recharge est modélisé pour l'ensemble des quelque 8'000 zones de circulation de Suisse. Le nombre de points de recharge nécessaires pour couvrir les besoins de recharge dépend du réseau de recharge actuel (DIEMO, état des données 2022) et de l'utilisation supposée des points de recharge (taux d'utilisation) à l'avenir. Le taux d'utilisation indique la quantité d'énergie de charge fournie par jour, respectivement par an, par un point de charge (par rapport à la quantité maximale de courant pouvant être fournie à ce point de charge). Le taux d'utilisation des points de charge varie selon l'option de charge. Un point de recharge rapide délivre beaucoup plus de courant par an qu'un point de recharge sur le lieu de travail. Les hypothèses relatives à l'utilisation future des points de recharge par option de recharge ont été convenues avec les experts techniques (étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). Afin de montrer l'éventail des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu trois mondes de recharge : "Confortable", "Planifié" et "Flexible", afin de montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse. Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Les différents mondes de la recharge servent à analyser l'évolution en fonction de différentes conditions, du cadre politique et de l'influence variable des principaux moteurs. La base de données contient les futurs besoins en points de recharge [nombre de points de recharge] par option de recharge des véhicules branchés (voitures de tourisme électriques à batterie et hybrides rechargeables). Les données sont disponibles de manière régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton, par tranches de 5 ans, de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

Office fédéral de l'énergie OFEN

Nombre de points de recharge accessibles à tous dans l'univers de recharge « Planifié » pour 2035

Un point de recharge est une installation de recharge de véhicules branchés (véhicules électriques à batterie et hybrides rechargeables) qui permet de recharger un seul véhicule à la fois. Un point de charge correspond donc à une prise qui alimente un parking avec une possibilité de charge. Toutes les données se rapportent à des points de charge [nombre de points de charge]. On distingue différentes options de recharge, qui se différencient en fonction des besoins de recharge (recharge à domicile, recharge au travail, recharge dans le quartier, recharge à destination, recharge rapide) ainsi que du type de recharge (courant alternatif AC, courant continu DC) et de la puissance de recharge (en kilowatts [kW]). Les points de recharge pour la recharge dans le quartier, la recharge à destination et la recharge rapide sont désignés globalement comme points de recharge accessibles à tous. Le besoin de recharge agrégé par besoin de recharge est modélisé pour l'ensemble des quelque 8'000 zones de circulation de Suisse. Le nombre de points de recharge nécessaires pour couvrir les besoins de recharge dépend du réseau de recharge actuel (DIEMO, état des données 2022) et de l'utilisation supposée des points de recharge (taux d'utilisation) à l'avenir. Le taux d'utilisation indique la quantité d'énergie de charge fournie par jour, respectivement par an, par un point de charge (par rapport à la quantité maximale de courant pouvant être fournie à ce point de charge). Le taux d'utilisation des points de charge varie selon l'option de charge. Un point de recharge rapide délivre beaucoup plus de courant par an qu'un point de recharge sur le lieu de travail. Les hypothèses relatives à l'utilisation future des points de recharge par option de recharge ont été convenues avec les experts techniques (étude de l'OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). Afin de montrer l'éventail des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu trois mondes de recharge : "Confortable", "Planifié" et "Flexible", afin de montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse. Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Les différents mondes de la recharge servent à analyser l'évolution en fonction de différentes conditions, du cadre politique et de l'influence variable des principaux moteurs. La base de données contient les futurs besoins en points de recharge [nombre de points de recharge] par option de recharge des véhicules branchés (voitures de tourisme électriques à batterie et hybrides rechargeables). Les données sont disponibles de manière régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton, par tranches de 5 ans, de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

Office fédéral de l'énergie OFEN

Besoin en électricité pour les véhicules branchés pour l'année 2035

Les détenteurs de véhicules branchés (véhicules électriques à batterie et hybrides plug-in) ont des besoins de recharge différents. On distingue cinq besoins de recharge : la recharge à domicile, la recharge sur le lieu de travail, la recharge dans le quartier, la recharge à destination, la recharge rapide. Le terme "besoin de charge" désigne le besoin en énergie chargée. Recharge à domicile : les places de stationnement privées dans les parkings couverts seront-elles largement électrifiées ? Recharge sur le lieu de travail : les pendulaires peuvent-ils en principe se recharger sur leur lieu de travail ? Recharge dans le quartier : les propriétaires de véhicules branchés sans places de stationnement privées bénéficient-ils d'une offre de recharge quasi généralisée dans le quartier ? Recharge à destination : une offre de recharge quasi universelle est-elle proposée dans les commerces et les lieux de loisirs ? Recharge rapide : Quel est le besoin de recharge restant pour un réseau de recharge rapide rentable ? Afin de montrer l'étendue des développements possibles, l'OFEN et EBP ont conçu les trois mondes de recharge "Confortable", "Planifié" et "Flexible" pour montrer dans quelle direction l'infrastructure de recharge pourrait évoluer en Suisse (étude OFEN "Comprendre l'infrastructure de recharge 2050"). Les mondes de la recharge décrivent chacun une image cohérente de la manière dont l'infrastructure de recharge pourrait se développer d'ici 2050. Les différents mondes de la recharge servent à analyser l'évolution dans différentes conditions, conditions politiques générales et influence variable des principaux moteurs. Hormis la recharge à domicile, les processus de recharge ne se déroulent pas exactement là où le véhicule est enregistré, mais ailleurs, par exemple sur le lieu de travail, à la destination, dans le quartier ou aux points de recharge rapide. Afin de modéliser le besoin de recharge par besoin de recharge de manière différenciée dans l'espace, une simulation basée sur des agents est réalisée avec les flux de trafic du modèle national de transport de personnes selon le motif de déplacement (travail, loisirs, trajets professionnels, etc.). Le besoin de charge agrégé par besoin de charge est modélisé pour l'ensemble des quelque 8'000 zones de circulation de Suisse. Remarque : le besoin de recharge sur une zone donnée diffère donc du besoin en électricité des véhicules connectés immatriculés dans cette zone. La base de données contient les futurs besoins de recharge (absolus en GWh ainsi que relatifs en %) des véhicules branchés (voitures de tourisme électriques à batterie et hybrides plug-in). Les données sont disponibles de manière régionalisée au niveau de la zone de transport, de la commune et du canton, par tranches de 5 ans, de 2025 à 2050. On distingue trois mondes de recharge (pratique, planifié et flexible), qui représentent un éventail de développements possibles en Suisse.

Nouvelles données 15.05.2024